Cumbia Sobre El Mar
J’ai envie de pleurer quand je pense à lui, à notre nuit d’amour, qui apparait maintenant comme un mirage. Les images n’existent que dans ma mémoire, elles n’en sortent pas, pour personne.
Je ne mélangerai pas ton monde au mien. Je ne mélangerai pas ton monde au mien.
Et pourtant j’ai envie d’agripper sa main, chaque souvenir avec lui est un rêve de soleil, de Cumbia sobre el mar, de fête, de voyages, de vivre comme on en a envie, de faire confiance au monde pour que le monde nous fasse confiance, de puiser le positif partout où il peut l’être, partout.
Ça fait du bien d’ouvrir les bras en grand, car j’ai choppé des crampes à rester recroqueviller.
Alors oui, peut-être que nous deux ça promet du n’importe quoi, et que c’est pour ça que c’est effrayant pour moi, qu’on sera sans doute souvent les deux derniers de la fête, qu’à mon avis notre belle volonté ira souvent se faire foutre, qu’on sera peut-être excessif, qu’on peut se bousiller une vie comme ça, qu’on peut aussi faire taire le vacarme, et qui sait, peut-être nos démons
Tu m’envoies du rêve, tu es un concentré de bonheur à l’état pur.